Jeudi, au matin.
Enfin un peu de soleil et de bleu — cela faisait long, et semait la désenvie. Reste juste à récupérer le manque de sommeil accumulé. On verra ça ce week-end : samedi chômé — pas dimanche, malheureusement.
Belle lumière et jour pour des photos...
Hier, première douche froide de la saison. Ça réveille tout autrement. Vagues réminiscences de la piscine et vingt ans en arrière, à chaque fois que.
Du chocolat.
On parlait déjà du ciblage des émissions télévisées pour les 40+ ans. Hier matin, un "spécial" sur le Sex-less — non pas sans sexe, mais relation sexuelle, câlin avancé ou foutage, inexistants — et la difficulté d'en parler, plus précisément, semble-t-il (déjà que je ne regardais qu'un l'œil, ouvert non sans mal, l'autre étant sur l'ordi, je n'allais pas non plus regarder cette bêtise d'un bout à l'autre). Une émission un matin de jour de semaine, on devine qui est devant la télé — indice : probablement pas le salaryman.
Ce n'est pas la première fois qu'un tel thème est abordé ; en fait, on en est inondé — depuis Aso Taro ou quelqu'autre idiot qui disait que les femmes étaient juste bonne à faire des gosses, aux statistiques bidon (avez-vous remarqué que les échantillons des sondages sont ridiculement minces, alors que la population, ce n'est pas ce qui manque au Japon ?) et émissions télé diverses — et cela ne va pas sans préjugés lourds de conséquences, à commencer par celui que s'il n'y a pas de sexe dans la maison, c'est que quelque chose va mal.
Ce qui m'inquiète le plus, c'est le bourrage de crâne, et les idées mises en tête femelles, si promptes à faire de rien un problème. Quand à savoir pourquoi l'activité sexuelle du plus grand nombre diminue, jamais la question n'est posée, encore moins des solutions proposées (si tant est que ce soit un problème : de tout pour faire un monde). Ce n'est pas le jour pour en parler (boulot bientôt) — des indices et pistes ici ou là, à prendre avec plus ou moins de recul.
Des avis ?
Quelques petites choses sans intérêt apparent ?
Tiens, une compagnie aérienne à bas-coût s'appelle Sun Country. Invitant.
Et en Inde, on trouve un Rain Country Resort. Ça donne également envie.
Le Cloud Country Club, c'est encore autre chose.
Vente historique de polaroids, cause mise en faillite de la compagnie (à nouveau).
Au passage, j'aime beaucoup le texte court de cette semaine.
Allez, avançons dans les bouquins.
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