Dernier volet de l'escapade pseudo-touristique à Kyoto : Kiyomizudera.
Vous aurez bien du mal à voir plein de choses — "voir plein de choses en un minimum de temps" est un concept qui m'échappe, mais bon... — à Kyoto, sauf à y rester une semaine (très-discutable), celle-ci étant encastrée en vallée bouchée, les reliques pseudo-anciennes (tout est reconstruit périodiquement : la forme seule compte) se trouvant, pour la plupart sur les flancs des montagnes adjacentes, et le centre, par lequel il faut repasser (vivent les transports et lignes transversales...) n'étant qu'un encombrement sans nom : faites un choix.
Kiyomizu-dera serait remarquable, si n'était la horde touristique — on était, de surcroît, en période de voyages de classe, d'ordinaire en avril, reportés en octobre du fait de la rigolade de la crise de grippe porcine...
Enfin bref, ce fut tout de même occasion de portraits et autres lycéenneries.
Un trou de mémoire ? de la lecture.
Un sens de l'orientation douteux ? une carte.
Et des photos hors-propos.
Au retour — on allait envahir un tonkatsu-ya — on descendit la montagne par petites et moins petites rues, atterrit dans un sanctuaire dont on oublia le nom, où la masse des vœux (je crois me souvenir que le sanctuaire est spécialisé dans la rupture des liens — les malédictions, quoi : c'est du joli, mais je devine le succès) formait une sorte d'igloo.
Et passage à travers Gion — je n'ai jamais aimé ce quartier au pavage neuf qui sent la curiosité mal placée et l'argent à plein nez.
Ça, pas besoin d'expliquer.
Ensuite on allait à Shimane, mais c'est une autre histoire.
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