Samedi Contraste Walden Et bla


Samedi, au matin.

Beau, chaud.

On sent tout de même la fraîcheur du vent, de l'air, au matin ou tard le soir. D'un jour à l'autre, l'automne s'est annoncé, est là, s'installe.

Gros rhume depuis hier — allez savoir pourquoi, alors que la température ambiante a plutôt baissé, celle, conditionnée, qui règne dans les wagons des trains a baissé aussi, probablement pour maintenir un écart de 20°C entre l'extérieur et l'intérieur... Ils sont fous.


Premier billet sur le nouvel ordi, acquis à prix correct après discutaille chez Yamada Denki, finalement moins cher que Bic Camera. Long temps qu'on avait usé d'un desktop. Impression curieuse, cette largeur d'écran, et le doigt qui cherche la souris tactile quand la mobile est trop loin. On en profitera refondra le lay-out de ces pages, tentera peut-être la grande image, car tout apparaît rikiki.

Pour l'heure c'est galère de transfert de données du McBook à l'iMac, celui-là ayant un peu trop souffert, Firewire ayant changé de format entre temps. Du coup, on fait ça en réseau airport, au p'tit bonheur la chance.

La surprise de constater que la boite mail de l'ordi est à présent synchronisée avec celle du serveur... Effacé TOUS les messages de tous mes comptes par erreur. Ça fait mal. Reste toutefois une copie fichier, quelque part dans le McBook.

Du coup, si je vous dois un courriel et que vous n'en voyez venir, faites-m'en rappel...


Pas encore trouvé le temps de mettre le nez dans les photos. Je ne sais quand. Il en reste même dans l'appareil. Beaucoup de ciels, sans surprise.

Appris qu'il y avait eu élections. Quelle grande comédie vont-ils encore nous faire voir ? J'aurais aimé pouvoir choisir de ne payer pas pour le salaire de ces (né)potes impotents. Walden yeah.

Mais bon, on connaît la suite de Walden : Thoreau en prison, sorti de là par Emerson : connexion, influences. Bah, on a encore le temps de se trouver une cabane dans les bois.

Allez.


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