Mercredi, au matin.
Grand beau estival, et l'humidité ambiante qui va avec — on a du mal à se croire à la fin septembre, et n'aurais dû pas ranger le ventilateur. Bah.
Le rhume se mua sans surprise en toux, qui persiste grâce à la clope.
Par ailleurs, j'espère que vous avez fait vos réserves : ça augmente au premier octobre.
Pour poursuivre l'histoire, on passa gentiment le virus à la compagne, qui prit une journée de congé avant-hier.
Une série simple, de quatre couleurs, que j'aime assez, à suivre.
La routine reprend, vite. Le réveil-matin, l'ordi, les bouquins, l'alarme pour le départ, le train, le changement, les cours, le retour, l'ordi et les bouquins à nouveau. Prendre l'air ?
De fausses nouvelles ?
Un bateau de pêche chinois, des eaux territoriales, des idioties diplomatiques, bêtises populaires et nationaponistes. Ça alors.
Des prosécuteurs véreux pour le
No-sex otaku. Quelle surprise.
Hier au beau milieu de la nuit, un des trisomiques du lotissement se prit une envie de balade et de se faire passer pour une voiture de police. Quel idée. Quel boucan aussi. Des choses à dire.
Ma coupe de cheveux m'ennuie.
Heureux de voir qu'une autre chenille, de la même espèce que la précédente (un billet un de ces quatre matins), a investi le basilic. Plutôt curieux de voir quelle chrysalide.
Quelques bons achats récemment.
Bon quand prendra-t-on le temps de refondre ce diable de blog ?
Retrouvé cette petite Busherie en faisant le ménage dans les signets — excellent.
On commence tôt ce jour. Allez.
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