Samedi, huit heures et des brouettes, au matin.
Cela s'éclaircit ou se couvre-t-il ? Pour l'instant, agréable.
Une cigogne se balade sur le mur, en face.
C'est le weekend, il est bienvenu, c'était fatigue qui, elle, continue. Ces derniers temps on se couche à pas d'heure, parfois à tort : la décrépitude ne favorise pas la productivité. Il faut savoir se coucher tôt. Il faut savoir siester, aussi.
Pourquoi le "noir et blanc" est-il tant en odeur de sainteté ? Une bonne part lui octroie une valeur "artistique" supplémentaire — quoi que cela veuille bien dire. M'est avis que le n&b est bien plus souvent inoffensif : le degré d'éloignement avec la réalité, voyez-vous ? il a cessé d'être pleinement évocateur. Le cru c'était la fin des années 80, le début des années 90 : qu'est-ce qui suit ? un retour à une forme de paysagisme technique ?
Du chocolat. À la crème fraîche.
Les piles de la souris n'ont pas tenu un mois : ça rime à quoi ? Et impossible de trouver un plastique de protection pour le clavier avec pavé numérique : qu'est-ce que ça veut dire ?
Des mandarines, déjà.
Jour d'update sur AJB, mais pourra-t-on ?, après le gros morceau que constitua la collation de la revue Photographes japonais et EROS. Il y a vraiment des trucs chouettes, particulièrement dans les années 1970, moins pudibondes en un sens, plus inspirées, plus puissamment érotiques, souvent, que le tout-poil des années 90.
Pourquoi ne pas casser du château ?
S'attaquer aussi aux tirages photos Meiji-Taisho : il y en a un paquet. Pas pour toute suite. Et ces superbes posters des années 1970. Que de choses dont s'occuper.
Allez.
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