Puisqu'on est dans les choses réminiscentes et estivales, on eut notre lot, comme chaque année, de cigales.
C'est bruyant, ça se lève tôt, parfois on s'en passerait bien, j'ai pas envie de me lever tous les jours à cinq heures, mais bon, sans elles il manquerait quelque chose à l'été, enfin bref, on ne va pas faire redite. Un court résumé pour les septentrionaux.
Le temps venu, les larves-spéléologues jouent du crampon.
Pour finir alpinistes.
Toujours plus haut.
Et retomber sûrement et finir dans l'assiette des fourmis (variante fablesque).
À moins qu'elles préfèrent les futons qui prennent le soleil.
Et les carcasses nous accompagneront jusqu'à l'été prochain.
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