Jeudi, au matin.
Températures estivales ce jour, grand soleil au réveil, qui se couvre, se couvre. Ça sent l'orage pour ce soir. Enfin bref.
Octobre est décidément l'un mois des plus agréables, un peu comme un bel été européen.
Des envies de fabriquer des choses, pop-ups, posters, cartes, sculptures en polystyrène, etc. Mains aux envies autres que de nécessité de tapage en clavier.
Dans la série truistique Demandez Une Fois Imposez à Vie, je me suis une fois encore fait avoir. Quatre fois par mois je donne un cours assez loin, jusqu'où on me conduisait depuis la gare habituelle. Je dis oui une fois à la demande de trajet bicyclette cause empêchement patronal.
Et hier on me demande de faire ça à chaque fois, argumentant une hausse du boulot de bureau du côté de l'entreprise paternelle. Tss. Excuses, excuses pitoyables de cinquantenaire femme au foyer, qui ne sait ce que c'est, d'être occupé, et qui n'a, de toute façon, aucune intention de travailler, qui le fait à reculons parce que la mère est âgée et mal en point, sans vouloir-faire net, sans motivation personnelle — mis à part la hausse du budget pour les accessoires de marque que cette participation suppose. Ça l'ennuie tout simplement, de me conduire là-bas — alors que bon, ça fait partie de son boulot à elle du côté de l'école, puisqu'elle ne sait rien faire d'autre, se trompe dans le compte de mes heures, des élèves présents, etc.
Faute à moi, de toute façon, en fin de compte, qui suis, je pense, d'excellent conseil pour les autres, et finis toujours par faire l'inverse pour soi. En l'occurrence : la difficulté de dire non, la crainte de l'embrouille éventuelle en résultante possible. J'ai hâte de ne dépendre plus de personne. Persévérons.
Tu m'étonnes !
Trop ou trop peu de zéros tue le sens du chiffre — yen, euro.
La cousine débarque ce soir, et j'espère juste qu'elle trouvera le bus, descendra au bon arrêt.
Couché tard hier, et gros update pour AJB, qui n'est donc plus à faire — tant mieux : d'autres choses sur le feu.
Allez.
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