Mardi, au matin.
Oooh, soleil : il y avait long.
Je pensais y échapper cette année, qui était jusqu'à présent plutôt douce, mais c'était sans compter la froidure décembraire : les rhumatismes métacarpiens ont repris. Tss.
Le café est encore chaud, et agréable en paume.
On avance plutôt doucement dans les notices de bouquins, s'occupant d'ouvrages dont on avait remis à plus tard l'étude, passant des heures à rechercher des kanjis désuets de noms et prénoms que les Japonais contemporains ne savent plus lire. Saviez-vous qu'il y a des tests de kanji qui font passer le JLPT 1-kyu pour une plaisanterie, pour être employé dans les grandes librairies d'ancien japonaises ? et que ça recommence une fois l'an ? J'en connais plus d'un, qui pour y échapper, sont passés indépendants.
Je veux une de ces machines disposant d'une de ces palettes graphiques tactiles, qui permettent de tracer les caractères au lieu de perdre un temps fou à les retrouver par clefs — quand ils y sont.
...
Interrompu en cours de route : il a fallu aller garder le petit neveu, jolie belle-sœur travaillant. Enfant unique, il est complètement pourri-gâté. Ç'a été jusqu'à ce que la grand-mère arrive vers midi, et il commença de piquer des crises psychotiques pour un rien, insultant à tout vent. Bah.
Ces gamins (non-)élevés avec une DS dans les pattes pour laisser les parents tranquilles...
Bon, quatorze heures et des brouettes. Désenvie plutôt générale.
On ferait bien une sieste. Mais d'autres choses plus pressantes.
Allez.
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