de peu : Okinawa (1) : Departure

On allait passer trois jours — enfin, trois nuits, dans l'île d'Okinawa (沖縄本島) de l'archipel et préfecture du même nom — ou pas d'ailleurs : Ryukyu (琉球), n'est-ce pas. Comme le festival éponyme, qui a lieu tous les étés à Osaka (tiens, une vidéo).

On désespérait de pouvoir terminer le tri des photos, et aurait bien fait d'expédier tout cela : ça ne me plaît plus guère. Enfin bref.

C'était en mars dernier (je sais, je prends mon temps — ou pas, justement) et l'on manqua le réveil-matin, réglé très tôt, enfila ce qui traîna en quatrième vitesse, y compris les sandales trop petites (des bêtises de Birkenstock — je hais ces choses) qu'on nous avait bien fort peu à propos offertes, et courut à l'arrêt de bus en traînant ou poussant les valises, bus qu'on chopa de justesse : c'était parti pour l'aéroport international du Kansai.

J'aimerais assez jeter un œil sur les factures d'électricités de Kankuu.

Voici le moyen de locomotion :

Trois cents personnes y tiennent, si si.
JAL est une compagnie magique, à la gestion irréprochable, c'est bien connu.

Autant pour moi, c'était celui d'à-côté.

Deux heures trente de vol : c'est pas la mort, mais c'est toujours le dernier tiers le plus dur, quelque soit la durée. Des ciels vus de l'autre côté, en attendant.