Mercredi, au matin.
C'est froidure et soleil.
Quatre jours par semaine, s'il ne pleut pas, j'enfourche le vélo (une catastrophe, le vélo, même neuf : règne de l'enfoutage à vil prix, c'est dire : cher pour ce que c'est, comme bien souvent ici) et pédale de la gare d'arrivée à l'école ; s'il pleut, on vient me chercher en voiture. Cela fait bien deux mois qu'on n'a eu droit à l'automobile. Les potagers sont mécontents.
N'empêche qu'il pleut en weekend, parfois.
Il y avait de l'ambiance au 3e Salon du Livre animé.
L'ex-star (lire : il apparaissait tous les jours à la télé) du Kabuki contemporain, Ichikawa Ebizo, refait surface après son altercation nocturne bourré comme une pipe. Ah ah. Et les habituelles excuses la tête baissée, l'air mortifié, etc. Les infos le donnaient pour quasiment mort (fractures du crâne et j'en passe) ; il a l'air de se porter comme une fleur.
M'est avis qu'il y a du yakuza mercenaire dans l'air, et de l'acteur de kabuki ombragé et jaloux du succès de l'autre, derrière tout ça. Bah, façon commune de faire.
Ah ah ah, du fait de l'importante couverture médiatique récente, et sentant probablement l'opportunité (en est-il d'autre que financière ?), se peuvent à présent trouver les révélations de WikiLeaks (passées au rouleau compresseur) traduites en japonais.
Une truculente animation par Alan Becker. (Merci Jacques !)
Longtemps que je n'avais pas fait un tour sur cette feuille de chou minable. De l'article Gay Les Bi Trans de bas étage — ou de sous-sol ? Je crois qu'il faut faire comme avec tous les sites qui m'agacent : virer tout lien et signet des pages et de l'ordi.
Au boulot !
Allez.
1 commentaire:
Ebizo, c'est désormais le Asashoryu du kabuki !
M.
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