C'est Samedi, c'est le soir.
On revient à un format de photo plus petit. De toute façon l'on diminue tellement la qualité des clichés au passage, qu'une taille supérieure ne rime à pas grand-chose. Il y en a, pourtant, des rimes à pas grand-chose, mais elles passent mal en images.
Plutôt soleil ? et plutôt froid ce jour ? je ne sais plus.
Café.
À partir de demain et pour trois jours, c'est le festival d'Imamiya-Ebisu, au sud de Namba. S veut aller y faire un tour, comme l'an dernier, et celui d'avant. Ça ne nous enchante pas plus que cela, la foule.
Concept intéressant. Le 9 janvier c'est Ebisu du 9 ; le 10 janvier c'est Ebisu du 10 ; et le 11 janvier c'est Fukunokori, où l'on chope la chance qui reste — l'idée marketing de l'occasion ? les invendus portent bonheur. Il fallait y penser (je fais confiance aux chargés de sanctuaire pour trouver des moyens toujours plus inventifs, le cas échéant, pour renflouer les caisses non-imposables), il fallait y penser et trouver des gens pour y croire — pardon : rien à voir avec la croyance : juste, on s'y colle, au cas où.
À part ça on revient d'un anniversaire — 7 ans et enfant unique, ça crie beaucoup, n'écoute pas des masses, faute principale à la grand-mère et à la DS. En fin de soirée, joué pour la première fois à Othello : plutôt intéressant comme jeu.
À partir de demain on coupe les glucides, dope les protéines.
Update automatique de l'OS, hier : AppStore se met d'office dans le Dock : WTF?
Si demain on avance confortablement dans les notices, on tentera de rédiger quelques billets. C'est pas gagné. Et lundi c'est Ebisu. Mais on essaiera d'y couper. Enfin bref.
Allez.
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