Dimanche, au matin.
Soleil, d'après ce qu'on peut voir à travers le double rideau des échafaudages.
Froid, dit la main droite.
S au keigo dès le réveil: la journée s'annonce mauvaise. Vivement demain.
Café, natto, tofu, laitue.
Quelle est la part des voy(ag)eurs qui z'yeutent par le trou de serrure du lecteur de flux? qui passe par la porte? qui salue?
Hier c'était jour d'ogrerie, dont on ne retiendra que le petit déjeuner, à dominante doughnut, et les chocolateries — les yakisoba de midi et le tonkatsu du soir me laissèrent rempli et insatisfait.
En parlant de donut : voodoo. Rien à voir, mais sacrée collection.
Only don't tell me you're innocent: it insults my intelligence.
Pour une fois, on a failli se souvenir du rêve matinal.
Ah, non qu'il y ait jamais eu ruée sur les commentaires, mais le nombre de spams ayant considérablement augmenté ces derniers jours, et vous me voyez lassé de les refuser manuellement les déchets, et rétablir la vérification par le mot. Ceci dit en passant. Non que cela concerne grand-monde.
Allez.
3 commentaires:
Moi je regarde! Le dimanche a Londres vient de commencer, gris et humide. Je m'apprete a partir pour la gare de Waterloo et la campagne...
Ça faisait longtemps que je n'étais pas venu... J'ai regardé ces photos lundi en soirée. J'aime bien. Tes séries de noirs et blancs "saturés", mais encore plus les ciels. Ton concept "bla" me laisse pantois...
De Tôkyô
Madjid
Merci c'est gentil. Le ciel me manque ces derniers temps, et la chaleur.
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