Lundi, treize heures, déjà.
Ça pleut, c'est gris, c'est froid, c'est moyennement drôle.
On vient de terminer un update d'AJB, du détail sur le bentô, empiffré de gâteaux au chocolat tout le long, et café, envies rongeantes de clope, dos et épaules en nœud.
C'est férié aujourd'hui, je ne sais plus quoi, et ne change rien à notre emploi du temps, de toute façon.
Eh.
Tiens, r'essayons avec des photos XL, histoire de voir si on rentre dedans, ou si le blog ne flotte pas trop.
Journalisme : sauter du coq à l'âne, du Japon à la Lybie, ou sauter le coq et l'âne, le mentionné et le lecteur, ou l'un saute l'autre, qui sait. Bah, ça explose des deux côtés.
On en blattait tantôt, C'est moins le manque de sources "objectives" (trouvez-moi une source qui ne soit pas subjective — sans jouer sur les mots comme les épistémologistologues, hein : encore un couple de mots qui ne renvoie à rien et pose des problèmes inexistants) que celui de sources désintéressées. Ah, l'intérêt, le désintérêt, le principe de doute et la véracité...
On rentre en France fin juin, semble-t-il, pour une dizaine de jours.
Qu'il fasse beau, chaud.
En parlant du bentô, sentiment qu'il faille changer de look. Un truc qui cloche.
À part ça, le temps de rien (de ce qu'on veut, voudrait, peut et pourrait, n'est-ce pas). Envies de continuer cette série de pop-ups érotiques.
En pleine traduction du catalogue des L.A. pour la foire du livre ancien de New York, qui arrive vite. De chouettes trucs.
Moi aussi je veux faire et fabriquer plutôt que.
Allez.
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