Samedi, fin de journée déjà.
Presqu'oublié le bla.
Terminé la semaine sur les rotules: pas fâché qu'elle se termine, plus embêté qu'elle recommence bientôt. Ah, et le départ approche.
Ça pleut depuis deux jours, et la gris du ciel.
Thé, pour changer.
Concernant les commentaires Twitter sur l'affaire en question : les gens sont fous, et en tout cas le terreau est là, au Japon, pour une sorte de néo-impérialisme dictatorial et ségrégatif — probablement comme un peu partout. Ces gens votent, ils ont des enfants. À mon tour je leur dénierais bien le droit ou la liberté de faire l'un et l'autre. Tiens, Veuillot ça dit quelque chose à quelqu'un ? Probablement pas...
Ah, ou alors il faut justement faire comme au Japon : afficher le népotisme et la pourriture politique au grand jour, c'est décourager le vote ; rendre le coût de l'élevage d'un enfant prohibitif (école, santé), c'est décourager la procréation. Vraiment, ils sont très forts, en fait.
On en a un peu marre de pédaler sous la pluie du fait du j'm'en-foutisme de mes deux patronnes-femmes au foyer. Insérieux féminin japonais qui de toute façon comptera sur autre que soi si possible.
Et ces gens dans le train et métro. C'est presque la campagne, pourtant. Quelle misère.
Enfin bref, il y a des jours où je ferais mieux de ne rien faire plutôt que de.
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Portnoy quitte Dream Theater. Eh ben.
Et la nuit tombe déjà. Ça devrait être réversible.
Où est le Grand Interrupteur ?
Allez !
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