Dimanche, au matin, pas encor bien réveillé.
Hier c'était barbecue du côté de Sannomiya, en jardin et soleil : chouette. En plus il y avait deux guitares. Le seul souci, toujours le même : c'est loin, et le retour, long, est difficile.
On vient de siroter un mug de café au bord du balcon, en ciel c'est plutôt gris mais plutôt doux, les basilics ont percé, tout petits, et d'autres fleurs et feuilles.
Avant-goûts estivaux.
Ce devrait être enseignement obligatoire, de s'occuper un temps, dix ans pourquoi pas, d'un jardin, afin d'enseigner la patience et l'amour de la terre plutôt que du béton, et de faire comprendre aussi tôt que se peut, qu'alors que détruire prend un instant, faire pousser du vert, porter soin à, créer, prend et demande un temps considérable. Un petit pas mais pas des moindres, dans la gestion des conflits et le respect de la Maison dont nous sommes les incorrigibles squatteurs.
Trier les photos...
Les hirondelles sont de retour, et ces jolies fleurs dont on ne sait le nom.
Et re-café.
The Manslater ! Le décodeur universel du dialecte féminin.
Ça traîne, ça traîne.
Envie de se poser devant un film en grignotant des choconneries.
Bon, un tour chez AJB, et autres choses.
Allez.
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