Jeudi, au matin.
C'est gris, c'est chaud et humide. Je ne sais ce qu'ils ont prévu pour ce jour.
S part ce soir, via Dubai. Même chemin bientôt.
Plus l'habitude des doughnuts chocolat.
Café, inchangeant.
Curieux comme toutes ces collégiennes et lycéennes, nan pas toutes mais elles sont les plus visibles, veulent paraître plus âgées, et réussissent simplement à se transformer en
Et ça entre au lycée et se sent obligé de boire de l'alcool. Voire arriver bourrée en juku (le verre d'après-classe, qui anticipe sur la vie "active" — tiens, la revoilà, celle-là). Lycée de réputation délinquante, mais bon. Une seule chose, en fait : le manque désespéré de guide. Défection générale des "adultes", sans remède sinon celui.
À s'auto-inspecter de temps à autre, on se rend compte que l'émotion que l'on ressent le plus souvent à côtoyer ses semblables solaires-levants, c'est, en interaction, l'agacement et la contrariété. Sinon (sans interaction), la curiosité. Je voulais être entomologue quand j'étais petit : la n'est probablement pas sans lien.
Ah, ici comme ailleurs, la dictature du petit employé. Exemple parfait parmi tant d'autres : la Poste. Mais si il faut une déclaration pour les douanes avec les Livres & Brochures C'est ça oui retourne en classe moi je reprends mon paquet pour le principe. La grosse structure fournissant un semblant d'anonymat, et donc développant un sentiment de sécurité et d'immunité, est le terreau idéal. Services publics au premier chef, bien entendu, mais le SP privatisé est également une mine. Désolé pour ce paragraphe de truismes.
Désespéré par le manque de place dans le bureau-bibliothèque-librairie. S'il y a un tremblement de terre conséquent, je meurs écrasé par des montagnes de papier.
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