C'est dimanche, c'est l'après-midi. On va faire vite.
C'est qu'on vient de revenir d'une paire de jours à la campagne, pour les 88 ans du grand-père, qui se porte comme un charme à condition qu'il n'ait la cale à sec. Un billet un de ces autres jours.
C'est le retour du chaud avec le retour en ville. Rien ne vaut l'air de montagne, et le vert profond des forêts denses. La ville est une maladie.
Rien n'est nécessaire, et tout est voulu.
N'empêche qu'on a trop bu vendredi soir, et l'en-demain fut rude. Nous Izumo, les autres Gegege no Kitaro Road. Les serpents de bord de route et guêpes monstrueuses. La nouvelle maison, fraîche. D'autres choses encore.
Vieille cargaison de photos, ou cargaison de vieilles photos ?
On regarde les choses écrites pendant deux jours, passe vite sur beaucoup.
Les valises.
Café ! malgré quoi.
"Que l'autre souffre, c'est chose qui doit s'apprendre : et qui jamais ne peut s'apprendre tout à fait." (FN, HTH, 101)
Tiens, Madjid / Suppaiku fait peau neuve, joliment.
Un peu la flemme.
Allez.
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