Au soir Et bla




Vendredi, au soir.

Failli oublié que jour de bla. Les choses se fixent difficilement en tête, et beaucoup n'est qu'une succession de tâches qui s'anéantissent tour à tour, à fin de considérer la suivante.

On prend, par ailleurs, les vendredis pour des samedis, ces dernières semaines. C'est dire l'envie que tout se termine et reprenne.

Ce qu'il y a de bien à écrire au soir plutôt qu'au matin, c'est qu'on va pouvoir parler de choses radicalement différentes.




Comme les pieds puants d'un lycéen dont les ongles sont par ailleurs rongés jusqu'à la base.

Comme des histoires de PSP d'une main et téléphone portable de l'autre.

Comme des gamines fringuées comme des aguicheuses de luxe.

Commme la nuit noire dès dix-huit heures.

Comme ce reste de rhume et de toux, qui reprend au soir.




Toujours à avancer lentement, au rythme des trajets en train, dans HTH, relecture édifiante. On se souvient nettement de plusieurs passages, qui nous avaient frappé lors d'un précédent parcours. HTH est en fait un livre d'instruction, causé par la solitude. Il faudrait le remanier quelque peu. Et l'appliquer. Mais qui aura à la fois la volonté et les moyens de le faire ?

Les peaux de serpents apportent fortune, disent-ils.

Et je ne sais quoi encore, qui ne saurait tarder.

Allez.



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