C'est
On se couche très tôt ces derniers jours, au tour de dix heures, et se réveille un peu avant six, profite du matin. C'est qu'il fait nuit noire vers 17:45, et c'est déprimant.
Fin du café de Clervaux, et retour au truc qu'on trouve dans les supermarchés d'ici.
Un peu faim.
Un peu partout, échec des modes traditionnels de transmission du savoir et des connaissances, à la fois théoriques et pratiques : famille (de grand-parent / parent à enfant), école (d'enseignant / livre à apprenant). La faute à une déresponsabilisation générale des adultes, probablement, qui ressemblent de plus en plus à de grands enfants, qu'il faudrait éduquer à leur tour.
Qu'est-ce que j'entends par enfant ? au premier chef, c'est celui ou celle qui dit Je Veux, drapé dans une superbe ignorance du monde qui l'entoure — comme un roi, ou un dieu. Ceci dit, un gamin c'est curieux et a soif d'apprendre ; le grand enfant, certainement pas — d'où l'inutilité de lui parler.
Ceci dit et par ailleurs, la proposition se file. Exemple ? L'enfant scientifique, c'est celui qui dit Je Crois, drapé dans une superbe ignorance du monde qui l'entoure. À son tour une métaphore pour d'autres types et genres.
Ah, les guerres entre "tatamisés", qu'ils soient otakus anciens ou nouveaux, japonisants ou non. Il y a ce truc très français, qui touche à l'Inquisition : chercher à nier et écraser l'autre au lieu d'échanger avis et informations entre gens ayant la même passion. De toute façon les tatamisés je supporte pas : ils font partie des enfants sentimentaux (cf. supra). Ah ah.
Mmmh, et s'il pleuvait, plus tard ? On serait bien embêté.
Allez, au boulot.
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