Mercredi, au matin.
Grand soleil et flemme imposante de faire douze paragraphes.
Éblouissant, la porte-fenêtre à l'est. Chapeau d'intérieur.
Doughnut au chocolat, café.
S'attaquer aux maladies et aux remèdes de l'homme. On ne parle pas de médecine.
On reproche souvent à Nietzsche sa misogynie ; mais il a ses raisons que la raison ne désavoue. Et les grands adorateurs des femmes ? c'est qu'ils en font — leur commerce.
L'asadora ? propagande "féministe". Le hic ? l'œuvre d'indépendance accomplie par ces héroïnes avant-gardistes archétypiques se suffit et n'encourage pas à l'imitation (surtout pas depuis le canapé). Et puis, elles finissent toutes par rentrer dans le moule, hein.
Intérêt récent, après le gambaru : le komaru. Qui se trouve probablement être le second pilier de la façade de la société japonaise. Pas envie de détailler ce matin : un autre jour.
Cuboy!
And Back to the Cubeture!
Re-watching Fringe while typing the usual book descriptions. Very solid, and fast-paced.
And Burn! Ah ah ah.
Off you go!
What are you still doing here? Turn off that dawn computer now!
I'm mad as hell and I can't take this anymore!
Ah ah ah.
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