Vendredi, au matin.
Dernier bla de l'année ! non que cela signifie quoi que ce soit, puisqu'il n'y a ni début, ni fin, ni année.
Les caisses se remplissent, les étagères se vident !
Que de vieilles photos, ce bla-ci.
Froid.
C'est bientôt nouvel an et cette bonne blague d'osechi ryori !
En attendant, petit repas à quelques-uns ce soir. C'est une différente sorte d'ennui, qui ne se confine pas à la veille de nouvel an — en somme tout à fait banale ici —, celle de ne pouvoir parler librement, de devoir supporter des conversations entendues, auxquelles on prend aussi peu part que possible.
On se réveille ce matin avec une voix de basse. C'est toujours amusant, même si c'est dû à un coup de froid ou à un virus, coincé qu'on est à vie avec celle de baryton.
Papier-bulle, puchi-puchi.
Il faudra faire un billet sur cette merveille de Poste japonaise.
Hier on rédigeait l'Aperçu de la perte vive 2011 pour demain, et pour ce faire naviguait via le widget Archives de la colonne de droite. Vous savez quoi ? des messages manquent, qui apparaissent pourtant au page par page. On fabriquera un organigramme décent, un de ces quatre soirs ou matins.
Bon, le déblayeur de papier passe vers onze heures. S'il m'offre cent yens du carton je préfère tout jeter. En attendant, à la douche !
Allez.
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