Samedi, au matin.
Le temps est indécidé ; une année dans la journée, et trois ou quatre saisons.
Les yeux supportent mal tant d'ordinateur.
Café.
Intéressant comme la voix mixte interfère avec la voix de tête, sans que la réciproque vaille.
À l'attention des feedreaders, googleplussers, facebookers, et autres twitterlings : pensez à passer sur le blog de temps à autre : la maquette de chaque billet est pesée et pensée en fonction : la forme est une part du fond, quoi qu'en disent les binaristes.
La fête de la musique dans le quartier ? Comment résumer une série ininterrompue de beuglements concurrents ? que suivirent moults bris et cris, et possiblement hématomes et formulaires de police d'assurance (edit : en fait, 2 morts dans le quartier...). Le bon côté de la chose ? la mégaphonie était finie à minuit et demie. Ils sont probablement tous partis à Paris Plage.
En fin de compte on va profiter de cette perte d'appareil-photo pour faire du tri. Au moins le nombre de photos à éditer ne croît pas ce pendant.
Une part certaine du dimanche est consacrée à la préparation des billets de la semaine, le plus en avant possible, tout ce qui est fait n'est plus à faire, pour ici et le bento. Le lundi ? aussi.
Ah, ça se couvre.
Allez.
1 commentaire:
:)
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