Vendredi, au matin.
Grisaille et Pluie, comme on dit Sturm und Drang, ou Nacht und Nebel.
En attendant, une superbe expo-vente de pop-ups des années 1970-90 dans le 18e, au sous-sol magique de la Boutique du livre animé.
Une nouvelle table, à caser.
Café.
Il est à présent bien rare que satisfassent les conversations où il ne se mêle le corps.
La vieille femme seule du dessous ne dors plus, semble-t-il : voix télévisées jusqu'au petit matin.
Ces derniers temps, déjeuners inversés, fruits et yaourts à la maison, puis sandwich préparé tantôt sur la route.
En fin de compte, le seul facteur décisif de stress, m'est l'absence de temps passé absolument seul.
Entre dépenser sans compter, et compter sans dépenser ?
Terminé l'inventaire (des livres : restent encore les affiches et les photographies).
Échanger du temps contre de l'argent. L'un comme l'autre, de l'immatériel et du possible. À en croire quelques milliards de personnes, l'un vaut clairement plus que l'autre. Mais bon, à en croire quelques milliards de personnes, il y a un dieu ubique et invisible créateur du monde.
Argh, perdu mon appareil-photo. Ou vol. Ce qui revient au même.
Il va falloir s'en racheter un, un de ces quatre.
Du tri, en attendant.
Allez.
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