Lundi, après midi.
Froid depuis quelques jours. Nuages et vent. Pluie tôt ce matin, au vue des toits de zinc mouillés, en face, tantôt. Douche bientôt. Puis courses pour la semaine : la routine du lundi.
Qu'est-ce qui aura en premier notre peau ? une voiture qui déboule ou une centrale qui explose ? Un raz-de-marée ou un virus ? le déodorant ou la crème hydratante ?
Café encore. Si si.
Le dimanche est plutôt consacré aux tâches ménagères. Enfin, une part du dimanche. Et c'est là que me font bien marrer celles qui, une fois les gamins grands, en font une excuse de boulot à temps plein — pour mieux faire d'autres choses, bien entendu.
Reçu les deux mille photos commandées en début de semaine dernière, qu'on a trié en plusieurs fois, différentes piles, différents usages, la majorité en rebut bien entendu. Le plus agaçant, est qu'il fait nuit terriblement tôt, et qu'on ne peut voir tout cela à la lumière naturelle. Tenez, 16 heures et il faut déjà allumer les lumières. Tss, je n'aime pas l'hiver. Ou alors qu'il neige franchement, du grand froid et tout le tralala, non de la grisaille d'entre-deux.
Le secret, c'est la jouissance mesurée.
Un article éclairant sur l'économie du piratage et ses coûts matériels et psychologiques.
La quasi-centaine d'appels nécessaires — puis le quart d'heure de mise en attente — pour joindre l'antenne de la préfecture qui se charge des prises de rendez-vous pour le renouvellement des titres de séjours, dont on se serait bien passé : le formulaire en ligne du site internet ne fonctionne pas. Et cinq mois de liste d'attente.
La suite de cet épisode de farce capitalisto-communiste.
Si vous ne suivez pas je n'y peux rien. Ah ah.
Allez.
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