Mardi, à la mi-jour.
Plutôt gris et pluvieux, récemment, sans grande surprise mais désagrément certain.
Tous nos blogs — tout le reste aussi — tournent au ralenti : très-occupé côté photo, à la fois tri et livres, le troisième en route, qu'il faut terminer avant la fin de l'année.
Sandwiche, poire, yaourts, café, pour changer.
Trois paires de chaussures, hier. Il fallait bien bien ça.
Une part des achats de livres de ces dix derniers mois est arrivée il y a peu : de bien belles choses !
Au moins de films par jour, qu'on regarde d'un œil ou des deux, selon le flim, selon sur quoi on travaille ce pendant (faire une chose à la fois, quand je peux en faire deux, fait naître en moi un sentiment de frustration prononcé). Occasion d'un nouveau tri, aussi : le précédent date de l'avant-Japon. Et c'est comme tout : de bons moments, et d'autres oubliables. D'un œil ou des deux.
La force fait l'union.
Forcément, AJB n'avance pas non plus. Bah, plus tard.
La Poste, les banques : à ouvrir aux heures où la plupart des gens travaillent, c'est se condamner à faire de l'assistance sociale. Pénible de se retrouver derrière quelqu'un qui trouve tout naturel qu'une personne lui traduise les documents, qu'une autre les remplisse à sa place, et qui se plaint d'attendre depuis des heures. Freakin' lazy leeches.
Déconnecté de choses, connecté à d'autres.
Allez.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire