Occupation Nécessité Et bla

Lundi, mon dimanche, après midi.

Occupé tout le jour, d'hier à présent, sur un pot pourri de nos trois premiers livres de photographies, et sur la confection du quatrième, essai, cette fois-ci, d'A4 portrait en couleur. Ils devraient nous arriver la semaine prochaine.

Collatérale de la grisaille de l'hiver parisien, que le manque de lumière. Et une bonne semaine qu'on n'a pas appuyé sur le déclencheur. En revanche, les yeux ont parfois fonctionné en sur-régime.

Café.

Personne ne m'avait occupé ainsi depuis long.

Ressouvenir, forcément de folie d'il y a bientôt dix ans, qui nous coûta au moins trois amitiés ; A, qui a bien bourlingué et avait entièrement raison, à l'encontre de laquelle on alla, nous soutint tout de même ; reste qu'il avait raison, qu'il a raison, et qu'on en fera Contre mauvaise fortune.

 La nécessité quotidienne des actes de création et d'apprentissage. Toute journée qui n'en est pleine est irrémédiablement perdue — car le temps presse, quoi qu'on en dise ou pense. Rogner sur le peu qui reste de nos nuits est contre-productif : trouver autre chose.

Loi de Finances pour 2013...

English has recently been overflowing on its own, whether in mind or under the fingers. It unequals my French but, as we've steadily claimed, different thoughts and ideas come, accordingly.

Marathon Tim Burton en fond de nuit, d'un œil et deux oreilles : Beetljuice, Edward Scissorhands, Batman Returns, Sleepy Hollow. Il a son Ennio Morricone : Danny Elfman, dont on apprécie beaucoup la musique gothique et romantique de cirque décadent. Des recommendations ?

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Allez !