Vendredi, à mi-di.
De retour plus au septentrion. Soleil, chaleur, quelques orages.
Ces espadrilles sont en morceaux après un mois seulement.
Riz au curry.
Paris Plages a commencé, wouhou.
Plages méridionales, ça s'huile, ça rôtit, ça s'tourne, ça cuit, chairs débordantes à vomir, pourtant déjà servi au cours de mes marches quotidiennes entre Laumière et Barbès, mais les mêmes amas graisseux — le paddle en sus — qu'à 800 km de là. Le paddle, par ailleurs, dont on a découvert l'existence la semaine dernière — quelle mode ridicule.
Barbe. Le rasage est probablement imposé par femmes (quand bien même ce serait auto-imposé : second degré). Probable aussi que se mêle un critère de reconnaissance de groupe (non-exclusivement inter/intra-SP). Fort probable également que ce soit un reste du rasage destiné à ce que les joues adolescentes gardent quelque temps encore leur douceur enfantine, pour que nos barbus romains en puissent en profiter sans être taxés d'homosexuels (Martial : philopédie tout va bien mais sucer des queues par inclination c'est mal), ah ah. Les choses ont bien changé !
...
Pas mal, ce gel douche pamplemousse.
Paris Plages, donc. On ne connaît que la version canal de l'Ourcq. Peu ou prou les mêmes attractions et la même faune que l'an dernier. Même le clown triste, au milieu du Quai de la Seine, est de retour avec son bidon et sa trompette.
S'occuper des billets pour fin août. Ou voiture ?
Allez.
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