Lundi, au soir.
Tempête pendant la nuit. Il fait un peu plus froid. Faut-il se couvrir.
Un verre de Fisher. De ces grandes bouteilles qui rappellent le grand-père.
S à Osaka pendant un mois.
Déjeuné tard.
Changement d'heure et inclinaison plus prononcée de l'axe terrestre : il fait nuit l'ors qu'on marche au retour de la librairie, entre 19 et 19h30 : les intérieurs sont allumés, qui bientôt s'enguirlanderont.
La première pensée qui me prend à regarder des portraits anciens, en photographie particulièrement : la conscience aïgue de l'irrémédiabilité de la mort des portraiturés, et le sentiment de la perte de ne les avoir pu rencontrer : c'est le deuil d'un désir vain, qui aurait probablement préféré avoir pour objet ces personnes révolues : cause ou conséquence de tendances dépressives.
Entretien, l'autre jour, avec la tête d'une émission télévisée japonaise (Gurunai) pour un tournage de deux jours à Paris avec un certain M. Okamura, "animateur" de son état : on supposa mal et se trompa d'Okamura, oubliant le petit singe, pas très drôle, aux grandes oreilles.
Robert Massin !
On se revoit, avec plaisir, des House MD. Nombre d'épisodes ont pour thème : dissimulation et mensonge comme conditions nécessaires à une vie sociale.
Comment se fait-il que ce vieux billet soit en tête des lectures de ces dernières semaines ?
Le vol organisé qu'est le système bancaire français.
Allez.
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