Lundi, au soir.
Les jours sont courts. Lorsque de surcroît les nuages et la pluie s'en mêlent, on a comme l'impression d'être dans un crépuscule permanent. Et humide. Et froid. Et humide.
H en retour pendant un mois : du coup, on avance dans les notices et visuels de livres en attente depuis trop long temps, se fait un rush Smallville et de films en tri-tétralogies, gratte des cordes, et trouve le temps qui manque encore. L élusive, à son habitude. Novembre avance.
Fonds de café.
Cette installation mobile d'un infini et de deux billes.
Parfois l'on fait quelques efforts pour se bouger et obliger connaissances ou amis en des plans qu'on sait foireux, au mieux moins plaisants que couteux à plus d'un titre — ce qui gâche, forcément, occasions et opportunités. Ce qui n'est pas probablement plus mal : une énième leçon et rappel que, de temps à autre.
Les gens qui usent du mensonge quotidiennement sont, sans doute aucun, digne d'intérêt. La parole mensongère, également. Les mensonges blancs ou noirs, dans l'intérêt de soi ou d'un autre, les petits mensonges qui cachent les grands, les mensonges compulsifs ou chroniques, les mensonges pourquoi-pas. Et ce trait de Mark Twain : Never waste a lie: you never know when you may need it.
The best harmonica lesson there is.
Collector Daily : plaisant de voir de la critique photographique qui ne soit pas du vent.
Salon de la Photographie au Parc des Expositions, Porte de Versailles : incroyable le nombre de gens qui prennent des photos de photos !
La plupart des femmes rehaussées d'échasses ne se rendent pas compte qu'elles détruisent de ce fait l'équilibre précaire de leurs proportions.
On va se cuisiner du curry japonais pour la semaine.
Allez.
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