Lundi, au matin.
Ce weekend c'était braderie lilloise. Du monde, comme chaque année. De la pluie, une première depuis au moins quatre ans, qui n'amusa pas particulièrement, et dont on se serait bien passé. D'autant plus qu'il ne fit pas particulièrement chaud.
Aujourd'hui bout de soleil, ce qui est agréable.
Travaux au marteau-piqueur juste en dessous, ce qui l'est moins.
Fond de café.
Bout de rêve, noté tantôt. Une vieille voiture dans laquelle je monte, siège avant, coinçant quelqu'un contre une voiture garée, jet de pierre à travers la fenêtre, je manque à la rattraper. Dans une école primaire, queue pour quelque chose, je me retourne et vois `Fanny E. qui me sourit, elle est très belle, d'autres du lycée sont là ; mais la queue pour sortir est celle pour obtenir un pass SNCF, jur de renouvellement, beaucoup trop de papiers, chèques et billets dans le portefeuille, on met du temps à trouver 30 € (pour régler 28), je sors, les anciens du lycée jouent au foot dans la boue, je pars, me dis que ce serait une bonne idée d'aller faire des courses à Métro. Réveil.
Jours et semaines passent.
Ah, les femmes et les voyages, les restos, les cadeaux, et les temps qu'il est de bon goût de célébrer et dont nous n'avons que faire.
Nous ne sommes pas exactement dans une société qui valorise la franchise. Quoi qu'il en soit, la plupart des gens ne veulent entendre que ce qui les arrange, et ne supportent pas guère des opinions trop éloignées des leurs.
Faire un mobile, un jeu de cartes.
Allez.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire