Lundi, au matin.
31 décembre 2018 : le dernier jour de l'année ? Haha, comme si les "années" existaient et comme si elles avaient un "début" ou une "fin" !
Il faut identifier en soi, sous peine d'être le bourreau de soi-même, ce sentiment mêlé de rage, qui est en fait un constat d'impuissance à raisonner avec son interlocuteur, en particulier les femmes, qui nomment logique l'art de faire passer un sentiment pour un argument. Il est futile de s'y attarder : passons à autre chose.
Films etc. récemment vus : Call Me by Your Name, jolie photographie, catastrophe pénible pour tout le reste ; The X-Files S1, intéressant à revoir, entre autre pour constater la source d'inspiration qu'ils furent pour d'autres séries ; et le reste des Shyamalan, Devil, The Visit, Split, tous trois excellents.
Fond de café, encore un peu chaud.
L'agenda de toutes les minorités binaires exclusives : occuper les positions de pouvoir (financier puis économique, décisionnel, et enfin politique), les monopoliser, et en verrouiller l'accès, pour pouvoir utiliser les ressources ainsi acquises en la faveur unique du sous-groupe en question. Ou comment transformer une démocratie en oligarchie ploutocratique, de manière implicite ou explicite. Et la majorité d'applaudir : c'est que la propagande est un instrument capital.
Bien sûr, tout cela est en accord avec quelques traits héréditaires anciens de l'homo sapiens (primate, rappelons-le, animal mammifère hominidé) : ne pas voir plus loin que la famille ou la tribu. Il faut conclure que la solitarité et la citoyenneté-monde dépassent cette condition animale trop animale, et que ceux qui œuvrent majoritairement pour leur famille ou clan ne sont que des singes en habits d'hommes, loin des êtres d'élection qu'ils délirent être (ou plutôt : qu'on délire d'être pour eux).
La souffrance ne donne droit à rien, que cela concerne un individu ou un groupe de population délimité. Il n'y a pas d'échelle de souffrance. Par ailleurs, logiquement, la souffrance ne peut pas caractériser un groupe, car un groupe n'est pas une entité "sentiente" (douée de sensations). La "souffrance du peuple juif" n'existe pas, c'est un non-sens : existent les souffrances individuelles de chaque personne dont la religion est une des variantes du judaïsme.
Religions et croyances sont de bons exemples de psychoses transmises par le milieu, par perméabilité, et qui sont tolérées ou encouragées à peu près partout sur le globe (parce qu'elles sont d'efficaces instruments de contrôle). La perte de contact avec la réalité est un symptôme majeur des psychoses.
Les enfants sont des humains jeunes et petits qui sont souvent incapables de résister les pulsions de leur corps et les passions de leur âme, qui les transforment en bêtes féroces ou en dangereux psychopathes.
Allez, "bonne" "année" !
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