Traces Paris Flims Et bla





Mardi, au soir.

S au Japon ; journées entre papiers découpés, DP à l'ordi, et les sorties du chien, qui dort à présent dans le canapé. On va tenter de se coucher tôt. La fin de la saison 9 des X-files nous entraînerait un peu trop après minuit (épisode double, ooooh).

De bien belles journées, ensoleillées, ces derniers temps : c'est extrêmement agréable. Paris serait presque vivable avec un temps correct. Ce qui n'est évidemment pas le cas. Mais Paris c'est aussi tout le reste : ce qui fait qu'on retournera probablement au Japon, en fin de course.

Fond de thé vert.




Il y a des pensées qui contaminent toutes les autres, comme un verre déformant : s'en débarrasser, en identifiant clairement les causes et en les mettant en perspective. Ce sont par ailleurs souvent des choses sur lesquelles rien ne justifie qu'on s'arrête, du fait de leur insignifiance et irrelevance.

Comment diable peut-il y avoir des "traces de poissons, crustacés, mollusques, moutarde, soja, céleri et fruits à coque" dans une tarte chèvre-épinards qui est censé n'en pas contenir ? Pour information, c'est un produit Monoprix.




Fascinantes décompositions des marches et courses du chien. Eh oui.

Tiens, agressé dans la rue, l'autre jour, après la sortie des classes, par trois lycéens (deux maghrébins et un noir, bien sûr) qui chevauchaient à trois un scooter en sens interdit puis sur le trottoir (où je les ai arrêtés ; je promenais le chien) – c'est parti en vrille tout de suite : le noir m'a mis une beigne et le petit arabe a sorti un couteau : des filles camarades de classe sont intervenues et les ont "retenus" (comme si des filles de petit gabarit pouvaient retenir trois camés d'un mètre quatre-vingt à quatre-vingt-dix : j'en déduis la mascarade idiote : ils attendent que quelqu'une manifeste l'intention de s'interposer, pour ne pas perdre la face, à l'échelon de standards homosapiensaux) ; j'en ai profité pour partir et continuer la promenade, avec une envie accrue de déménager.

The Isle (2019) : bof. Narration intéressante, mais sub-par acting & SFX qui gâchent un peu tout.




Pierrot le fou : mémorables "ligne de chance / hanche" et "Et après tout je suis idiot". Et le clou du film, c'est, sans conteste, Raymond Devos avec "Est-ce que vous m'aimez ?" – mais pas d'extrait sur le net.

Butakari : j'ai ri pendant un bon bout du film (c'est un film d'horreur)(le réalisateur est une connaissance). La bande-annonce ici. Wow, le film est en entier ici.

Overlord (2018) : très efficace, un peu over-the-top au début (tirs façon rayons laser ?), tout est bien huilé ensuite. Réminiscences, dès les premières images, de cet excellent Get Out (rien à voir, par ailleurs) quant à qui starre et s'en sort à la fin...

MDR devant The Incredibles, très bien fait, trouvailles de génie à tout coin de pellicule. Incredibles 2 un poil en dessous mais ça reste excellent.

Allez.




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