C'est le week-end ; mais le week-end n'a rien à voir avec le Japon. Et vice-versa.
Ce matin, soleil. Comme hier. En vérité, c'est inestimable.
Hier, donc, poltron-minet, den-entoshisen, yamanote, monorail jusqu'à Haneda, retard de l'avion, et enfin pu rejoindre Shio-chan, aux cheveux légèrement plus courts, ça lui va toujours aussi bien.
Soba à l'aéroport — Haneda est une ville miniature, 5 étages et un sous-sol. Les retrouvailles sont souvent un moment étrange ; c'est particulièrement vrai quand elles ont lieu dans un lieu public. On ne sait vraiment comment se tenir, quoi faire, etc. La meilleure chose à faire est peut-être de n'y penser pas ? Je ne sais trop quoi.
Direction, en suite, Moriokashoten en compagnie d'un café Starbucks.
(A ce propos, c'est quand même fou que trois café valent un bon "set" de soba.)
Shio-chan avait rendez-vous dans la foulée à Shinbashi : bonne chose que ce fut assez proche. On la croisera peut-être au jour d'huy, si nos emplois du temps respectifs le permettent.
Shimazaki-neechan est passée à la librairie ! ça m'a fait très-plaisir. Elle était accompagnée d'une amie, de bon chocolats, et d'une gentille petite lettre.
Pas mal de passage hier après-midi, puis les habituelles préparations pour le soir avec l'arrivée de Iizuka-san, Arisaka-san et les quelques autres.
La projection est bien passée ; pas mal de visages très intéressants parmi les venues — dont un très joli petit bout qui parlait un peu français ; la séance-photo était également fort amusante — ai pu prendre plein de photos : on a mis les préférées, comme à l'habitude, sur dilettantpis.
Il faudra un jour aussi qu'on consacre un message aux plus jolies photos prises par Okayasu-san.
Au retour, encombré de paquets et de japonais soûls, Nao et Miwa étaient déjà là — ça arrive assez peu souvent. Blabla, curry-rice — pas eu le temps de dîner avant ça —, ouverture des omiyage de Shio-chan et des cadeaux de visite de Shimazaki-san. Miam miam. Tri des photos du jour — un sacré paquet, de photos et de temps —, trempette en bain, et au lit. Fin de la journée, plutôt longue, ces derniers temps.
Bon, c'est pas tout ça, mais vaquons à nos affaires : déjà dix heures.
Salutations !
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