Mardi, au matin. Ou soir tard, une fois n'est pas coutume.
Les jours s'enfilent, et ce sont giboulées au programme d'avril.
Ces heures d'avant-somme sont les seules qui nous soient réservées. Dommage qu'on soit trop à la masse pour abattre quelque tâche consistante, ni faire quoi que ce soit de constructif.
Thé, forcément.
Dans la rue, hier :
— Dis maman, est-ce que c'est dieu qui a mis la pluie ?
— Mais oui ma chérie.
Il est des lumières en fenêtres, dehors, qui semblent tout jour — ou plutôt : toute nuit, allumées.
Courir pour la santé, pour fun, courir pour ses fesses, son bide, sa vie, courir pour soi ou pour un autre, pour un oui ou pour un non, courir pour courir ou sans raison !
L'actualité ? L'actualité c'est l'ignorance.
Ceci dit (courir), c'est d'un ridicule, ces shorts hyper moulants.
Ces bides des adolescentes du régime macdo et couscous. Sur-bouffe et mal-bouffe, c'en est comique. Si si. Probablement un lien avec la société de gâchis et de rebut dans laquelle on vit. Entre crap et scrap. Bah.
Dickens et Conan Doyle, ces derniers temps : bonne compagnie.
Allez.
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